Fer à repasser, casserole, gant Mapa, tasse à thé… dis-moi à quoi tu sers et je dessinerai ton visage ! A travers une série d’images intitulées Like Every Day (à voir dans Beaux-Arts Magazine), la photographe iranienne Shadi Ghadirina, 35 ans, vivant à Téhéran, dénonce courageusement ce à quoi est réduite la femme iranienne dans son pays. L’artiste rêve d’une situation où en Iran, « la femme ne serait pas associée à un objet de servitude ». Elle ose s’exprimer et défendre leur cause allant même jusqu’à créer un site Internet pour promouvoir la photographie iranienne. Sur www.fanoosphoto.com, découvrez les scénographies poétiques d’Amir Nasiri ou encore les tribulations pleines d’humour de machines à laver le linge signées Mia Azadeh Jafari.
je crois que l’on ferait mieux de s’occuper de nos propres affaires, que de voir celles des autres. cela fait des siècles que les femmes Iranienne acceptent la Burka pour preuve, après avoir connu la « speudo » démocratie femmes en d’jean, durant le règne du Chat d’Iran, elles ont votés en pleine connaissance du terme les propos de l’imam Komeini, alors au diable de vouloir changer les cultures .
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